2024... Les beaux jours approchent, les travaux vont bientôt reprendre...
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La Chapelle Ste-Madeleine
En 2000, Les bénévoles de Cugistoria entreprennent de dégager la ruine, espérant en marquant physiquement son emplacement, éviter une destruction complète accidentelle.
Quand s’achève l'année 2005, les arbres ont été arrachés, l’entrée a été dégagée.
« Quelques » tonnes de terre, de pierres et de gravats ont été déblayés.
Mais c'est encore un chantier...
Le 17 au soir, le bâti sud-est et l'arrière ont été consolidés.
L'extérieur des murs a été complètement dégagé de tout ce qui obstruait le passage,
principalement des végétaux.
7 décembre 2023, dernière séance de l'année.
Mais pas de maçonnerie possible, car il gèle…
L'équipe doit se contenter de trier les pierres en fonction de leur taille,
et d'aménager une petite marche en guise d'escalier
pour rendre plus sûr l'accès extérieur vers l'arrière.
Une fois passées les fortes chaleurs... reprise du chantier le dimanche 17 septembre.
L’étape suivante a lieu les 17 et 18 juin 2023 : les murs sont débarrassés des pierres qui tiennent mal, voire qui ne tiennent plus du tout, de manière à atteindre une assise solide.
Les pierres sont alors remontées à la chaux.
Le dimanche après-midi, la reprise du mur de l’entrée et du mur orienté nord-ouest est terminée.
En 2022, l'équipe de bénévoles s'est renforcée.
Le projet revient alors à l'ordre du jour, les travaux vont pouvoir reprendre...
Les éléments faisant défaut pour reconstituer la chapelle à l’identique,
il n’est pas prévu de remonter entièrement la chapelle : l’objectif est de consolider l’existant.
Mais l’interruption a été longue, la végétation a repris ses droits...
Première étape les 26 et 27 mars 2022, avant toute chose, reprendre le site en main...
En grande partie effondrée, abandonnée depuis plusieurs siècles, la chapelle Ste-Madeleine était ensevelie sous des décombres et des restes de chantier. De la terre y avait été déversée. La végétation s'y était installée, y compris quelques pins centenaires dont les racines s'étaient glissées entre les pierres du bâti, contribuant largement à les déstabiliser.
A part pour quelques villageois qui en connaissaient l’existence, cette chapelle était complètement tombée dans l’oubli. Au mieux, si certains avaient bien remarqué un vague restant de construction, d’autres croyaient qu’il s’agissait d’une « suie ».